Le projet MOBRU

• Pourquoi a-t-on souvent l’impression que peu de choses bougent en matière de mobilité métropolitaine ?
• Quelles stratégies pour réduire la pression automobile et favoriser le transport public et les modes actifs ?
• Comment mener la concertation interrégionale à Bruxelles ?

Depuis début 2015, le projet MOBRU, financé par innoviris.brussels dans le cadre du programme anticipate, analyse la mobilité métropolitaine bruxelloise.
Il regroupe deux unités de recherche bruxelloises, MOBI à la VUB et l’IGEAT à l’ULB.

Cette recherche vise à établir une analyse critique de la mobilité métropolitaine et de la structure de gouvernance en la matière.
Le second objectif est de proposer des outils d’aide à la décision sur base d’études de cas concrets.

La mobilité reste un sujet d’actualité lorsqu’on parle de Bruxelles et de son aire métropolitaine.
Chaque jour, plusieurs centaines de milliers de personnes entrent et sortent de Bruxelles, pour une bonne moitié en voiture.
Ce contexte a pour conséquence d’engendrer des problèmes de mobilité, d’aménagement du territoire, d’environnement, économiques et politiques.
Par ailleurs, plusieurs projets de mobilité demandent une meilleure coordination métropolitaine : le RER bien évidemment, mais aussi les entrées routières de Bruxelles, l’élargissement du ring, les pistes cyclables interrégionales ou le projet BrabantNet de De Lijn.

Deux chercheurs impliqués dans le projet, Geert te Boveldt, chercheur au sein de l’unité MOBI de la VUB, et Mathieu Strale, chercheur au sein de l’unité IGEAT de l’ULB, présenteront leurs résultats lors de cette conférence.

Ce sera également l’occasion pour aborder l’étude d’un cas concret, celui de l’entrée autoroutière de la E411 et du viaduc Herrmann-Debroux.